
Contexte
Les évaluations d'impact visent à renseigner l'efficacité des projets à produire des résultats tangibles de développement. Pour ce faire, ces évaluations procèdent en mesurant, de manière rigoureuse, les effets d’une intervention au moyen d’une méthode quantitative, qualitative ou mixte.
Dans la perspective de renforcer les compétences et la pratique de la recherche au Sud en matière d'évaluation d'impact, d'enrichir le dialogue avec les pouvoirs publics et les parties prenantes sur les projets de développement, et de nourrir le débat académique sur des questions clés de développement, un partenariat entre l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et l'AFD a été monté pour l’identification et la mise en œuvre d'une série d'évaluations d'impact sur des interventions soutenues par l'AFD. L'IRD apporte l'expertise, les réseaux et les capacités d'action pour mener à bien ces évaluations avec des partenaires du Sud. Le partenariat a été prolongé en octobre 2024, ce qui permettra de sélectionner de nouveaux projets à évaluer.
A lire aussi : Evaluer l'impact des projets de développement : l'AFD et l'IRD prolongent le partenariat PAIRES
Ce projet de partenariat avec l'IRD s'inscrit par ailleurs dans un contexte où les attentes en matière d'évaluation pour mieux comprendre et mesurer les résultats et les impacts des interventions de développement se renforcent. Il concourt à répondre à ces attentes au même titre que les autres types d'évaluations, notamment les évaluations de projets, réalisées par les acteurs de la coopération française.
L'IRD est reconnu pour son excellence scientifique, sa pluridisciplinarité, son expérience en matière de pilotage d'évaluations d'impact et ses implantations locales lui permettant de développer des liens étroits avec les équipes universitaires ou les instituts nationaux de la statistique du Sud avec lesquels il pourra s'associer. Cette collaboration s'inscrit en outre dans la continuité d'un agenda de recherche partagé et elle est couverte par un partenariat institutionnel qui lie l'AFD et l'IRD.
Objectif
Le programme PAIRES finance des évaluations d’impact de projets de développement financés par le groupe AFD, dans un triple objectif :
- Enrichir le dialogue avec les pouvoirs publics et les parties prenantes sur les projets de développement et leurs résultats ;
- Renforcer le rôle, les compétences et la pratique de la recherche au Sud en matière d’évaluation d’impact ;
- Nourrir le débat académique sur des questions clés de développement.
En savoir plus sur le fonctionnement de PAIRES : télécharger la plaquette de présentation
Méthode
Les évaluations d’impact mobilisent des méthodes issues de la recherche en sciences sociales pour identifier et mesurer les effets strictement attribuables à une intervention. Les méthodes quantitatives consistent généralement à comparer l’évolution de la situation de la population bénéficiaire de l’intervention à celle d’une population n’ayant pas été exposée à cette intervention mais comparable à la population bénéficiaire. Mais le partenariat PAIRES promeut les évaluations d’impact multidisciplinaires, associant des méthodologies quantitatives et qualitatives de façon à renforcer les enseignements sur les mécanismes sous-jacents au changement (ou à l’absence de changement).
Par ailleurs, le programme PAIRES mobilise sur toutes ses études des chercheurs des pays d’intervention pour garantir la prise en compte de la spécificité des contextes et dans un but de renforcement de capacités. Sur ses quatre premières années de mise en oeuvre, PAIRES a ainsi mobilisé 6 laboratoires de recherche français et 9 laboratoires des pays du Sud concernés.
Résultats
Le partenariat PAIRES a permis jusqu’ici de réaliser 7 évaluations d’impacts (encore en cours), ainsi que 6 études de faisabilité. Les évaluations d’impact en cours couvrent 11 pays et 5 secteurs (santé, énergie, biodiversité, éducation, égalité hommes-femmes, microfinance, agriculture). Elles ont permis la collaboration avec plusieurs institutions académiques, publiques et de la société civile en France et dans les pays du Sud. D'autres évaluations sont en cours d'identification.
En matière de renforcement de capacités, PAIRES a notamment organisé une école d’été et deux formations en évaluation d’impact géospatiale à Madagascar. Le programme a également financé deux contrats doctoraux en co-tutelle entre l’Université d’Antananarivo et l’Université Paris Saclay, pour le projet BETSAKA.
Enseignements
Retrouvez ci-dessous les publications et articles de blog en lien avec les évaluations d'impact :
REDGAS (Burkina Faso) : quantifier les impacts sanitaires, économiques et sociaux de l’accès au mode de cuisson au gaz pour les ménages
- REDGAS : Retours sur l’enquête de situation de référence
- Mesures de l’exposition des personnes aux particules fines par méthode gravimétrique dans le cadre de l’étude REDGAS
- Se baser sur le terrain pour mieux cibler l’intervention : Une étude socioanthropologique en baseline
- Réduire la pollution due aux fumées de cuisson : principaux enseignements de l'étude randomisée REDGAS au Burkina Faso
Déforestation et dégradation dans le bassin du Congo : les plans d’aménagement forestier contribuent-ils à promouvoir l’utilisation durable des ressources forestières dans le Bassin du Congo ?
Projet BETSAKA (Biodiversity-economic tradeoff and synergy assessments for conservation areas) : quels sont les impacts environnementaux et socio-économiques des aires protégées terrestres à Madagascar de 2000 à 2024 ?
- A venir
Chèque Santé au Cameroun : quel a été l’impact du Chèque Santé sur l’utilisation des services de santé maternelle par les femmes enceintes camerounaises ?
- A venir
Education parentale et petite enfance au Népal : quel est l’impact d’un programme d’éducation parentale sur le développement cognitif et non-cognitif des enfants ?
Violences domestiques à Madagascar : quel est l’impact de la visualisation de vidéos de sensibilisation sur les violences domestiques sur les connaissances, attitudes et signalement des violences domestiques ?
- Etats des lieux des violences conjugales auprès des micro-entrepreneurs à Madagascar
- Le pouvoir des images : une vidéo pour changer les normes sociales sur la violence conjugale ?
Mutuelles Santé Sénégal : quels ont été les impacts de la départementalisation des mutuelles de santé sur le recours aux soins, les dépenses de santé et le pouvoir d’agir ?
- A venir
Contacts :
- Flore Gubert, coordinatrice scientifique IRD
- Ingrid Dallmann, cheffe de projet AFD

Contexte
Particulièrement exposée aux effets du changement climatique et à la dégradation des ressources naturelles, la Colombie renforce sa politique climat, envisageant véritablement une stratégie de croissance verte notamment depuis le Plan national de développement 2014-2018. Néanmoins, la dépendance du pays aux exportations de matières premières et sa forte intégration dans les marchés financiers internationaux impliquent des vulnérabilités monétaires, financières et commerciales.
L’AFD soutient la Colombie dans sa lutte contre le changement climatique par le biais du projet GEMMES Colombie, inscrit depuis 2018 dans le cadre du troisième prêt de politique climat. Le programme GEMMES, en intégrant l’impact du changement climatique dans ses prévisions, développe d’une part un modèle théorique général, et d’autre part des modèles nationaux appliqués à des cas concrets et adaptés aux caractéristiques de chaque pays, dont le modèle GEMMES Colombie.
EN SAVOIR PLUS SUR LE MODELE GEMMES
L'AFD et les outils de modélisation macroéconomiques pour la transition écologique
Objectifs
Le projet GEMMES Colombie, qui répond à l’engagement de l’AFD en faveur d'une soutenabilité forte, a pour but de :
- Mettre en lumière les éventuelles fragilités de l’économie colombienne par une meilleure compréhension des interactions entre les politiques fiscales, monétaires et commerciales et les objectifs de la CDN du pays ;
- Identifier les opportunités générées par la transition énergétique en Colombie : changements structurels et modes de financement dans les meilleures conditions possibles ;
- Quantifier les impacts macroéconomiques des investissements concernant la CDN, en particulier dans les secteurs de la finance et de la fiscalité ;
- Promouvoir le dialogue de politiques publiques autour de la transition énergétique colombienne :
- En fournissant un outil d'aide à la décision destiné aux décideurs au sujet des politiques climatiques, en vue de limiter les conséquences identifiées sans compromettre la mise en oeuvre des objectifs CDN de la Colombie ;
- En favorisant l’appropriation et pérennisation de l’outil de modélisation GEMMES au sein des institutions partenaires.
A lire aussi : Diego Guevara : « Nous ne pouvons pas viser un développement soutenable sans les ressources nécessaires »
Méthode
Outre son approche transdisciplinaire spécifique qui fait de ce projet l’un des rares intégrant la notion de soutenabilité forte, l’originalité de GEMMES réside dans sa prise en compte des déséquilibres macro-financiers et de l’impact de la transition bas-carbone sur tous les éléments de la balance des paiements.
De plus, GEMMES Colombie s’inscrit dans une démarche partenariale en deux phases :
- Développer le modèle et l’analyse macroéconomique de la trajectoire CDN colombienne en partenariat avec le département national du Plan (DNP) et le ministère des Finances (MHCP) soutenu par les équipes de modélisation de l’AFD ;
- Assurer la pérennité du projet après la fin du soutien de l'AFD, à la fois par la réalisation par l'Université nationale de Bogota (UNAL) de l’analyse des interactions entres politiques commerciales, fiscales et monétaires et la trajectoire NDC, et par la formation des étudiants au développement durable avec le cours Catedra, ainsi qu’à l’approche méthodologique GEMMES.
Résultats
Le modèle GEMMES Colombie, enrichi par l'expertise académique et intégré dans les processus décisionnels grâce aux ministères locaux, est devenu un outil clé pour le dialogue de politiques publiques sur la transition énergétique :
- À la demande des autorités colombiennes, GEMMES a été ajouté aux modèles macroéconomiques du MHCP en 2023 et a été couplé au modèle énergétique Energyscope, un outil d’évaluation et de planification énergétique. L’appropriation du modèle s’est poursuivi est 2024 avec une formation exécutive sur l’utilisation du modèle dispensé aux fonctionnaires du MHCP.
- Ces échanges se poursuivent grâce au comité stratégique GEMMES, composé du ministère des Finances et du Crédit public (MHCP), du département national du Plan (DNP), du ministère des Mines et de l'Energie (MME) et du Banco de la República.
EN SAVOIR PLUS
Colombie : un outil clé pour mener la transition énergétique
Par ailleurs, les travaux de recherche ont débouché sur un ouvrage collectif lancé en juin 2024, présentant les conclusions scientifiques et les recommandations politiques tirées du projet : Modelling low-carbon transitions in Colombia: Macrofinancial opportunities and risks
Ces travaux ont conduit au lancement d’un nouveau projet : la création de PowerShift, un jeu de stratégie destiné à soutenir le dialogue multi-acteurs autour de la CDN en Colombie.
Découvrez les témoignages des acteurs du projet
Les premiers résultats du projet avaient été présentés lors du congrès virtuel « Conexión DNP » les 2 et 3 décembre 2021. Les partenaires avaient exprimé leur satisfaction, et le MHCP avait montré un intérêt pour la modélisation après une année de travail à distance due à la crise sanitaire.
En mars 2022, un cours sur le développement durable, basé en partie sur les résultats de GEMMES Colombie, a été lancé à l'Université nationale de Colombie (UNAL). Dans la continuité de cette initiative, un second cours sur la modélisation des transitions écologiques dans les pays du Sud a été dispensé en 2023.
Enseignements
Le modèle GEMMES Colombie, en élaborant des scénarios sur les exportations de combustibles fossiles et des politiques alternatives pour la période 2023-2050, ainsi que des scénarios de financement de la trajectoire CDN, contribue à éclairer les décideurs dans leur stratégie politique de lutte contre le réchauffement climatique. Le modèle a par ailleurs permis au département national du Plan (DNP) d’analyser les conséquences des chocs économiques comme la perte de la qualité d’investissement du pays, la réduction des exportations de charbon ou encore la faillite d’Evergrande en Chine.
Il en ressort un constat clair : une diversification de la structure de production et une transformation des finances publiques est essentielle pour que la Colombie puisse répondre aux défis d'une transition bas-carbone mondiale et assurer sa propre transition énergétique. Le modèle GEMMES souligne l’importance du recours à une combinaison d’investissements privés et d’obligations vertes publiques en vue de financer l’ambition climatique de la Colombie.
Pour en savoir plus, retrouvez les papiers de recherche, l'ouvrage collectif et la brochure de synthèse des recommandations ci-dessous.
Aller plus loin
- Papier de recherche | Can Colombia cope with a Global Low Carbon transition?
- Papier de recherche | Low-carbon transition and global macroeconomic vulnerabilites: A multidimensional approach in tracing vulnerabilities and its application in the case of Colombia
- Ouvrage | Modelling low-carbon transitions in Colombia: Macrofinancial opportunities and risks
- Recommandations | Comprendre les vulnérabilités et les opportunités liées à la transition bas carbone en Colombie
Découvrir d'autres projets GEMMES

Contexte
Depuis plusieurs décennies, la ville de Clermont-Ferrand représente un pôle de compétences en économie du développement reconnu au niveau français et international, grâce aux activités de recherche de la Fondation pour les études et recherches sur le développement international (FERDI) et à une offre de formation qui cible notamment les cadres et les futurs décideurs des pays du Sud, dispensée par la FERDI et le Centre d’études et de recherches sur le développement international (CERDI) depuis 1976.
Ce pôle sera désormais renforcé grâce à la présence du Global Development Network (GDN), organisation internationale ayant pour mission le renforcement des capacités de recherche dans les pays du Sud. Celui-ci a souhaité implanter une antenne à Clermont-Ferrand pour bénéficier du contexte dynamique de la ville et orienter davantage ses activités vers l’Afrique.
Via l’AFD, l’Etat français soutient les activités de recherche, de formation et de renforcement des capacités de recherche des acteurs du pôle, dont la proximité permettra de consolider l’écosystème d’expertise local et développer des synergies au bénéfice de leurs partenaires du Sud.
EN SAVOIR PLUS SUR...
Objectif
Ce projet poursuit trois objectifs complémentaires :
- Soutien à la création à Clermont-Ferrand d’une antenne du GDN, pour lui permettre de poursuivre depuis la France ses activités phares (comme sa conférence annuelle « Global Development » et le blog Global Dev) et de lancer un programme ambitieux alliant des diagnostics des systèmes de recherche et des activités de renforcement des capacités de chercheurs et institutions de recherche d’Afrique francophone ;
- Appui aux activités de recherche de la Ferdi, pour lui permettre de gagner en visibilité et en influence sur les questions liées au développement durable ;
- Renforcement des activités de formation de la Ferdi en partenariat avec l’Université Clermont-Auvergne en faveur des cadres et futurs décideurs des pays du Sud, dont le parcours « Maîtrise d'ouvrage pour le développement » (Modev) mis en œuvre avec le Campus groupe AFD, ainsi que des activités de formation complémentaires.
Résultats
Les impacts attendus du projet sont :
- Pour les acteurs du Pôle clermontois : renforcement de l’influence et du rayonnement du PCDI et de ses acteurs, leur permettant de se positionner comme référence sur les questions de développement dans les débats nationaux et internationaux afin d’« influencer les politiques mondiales, soutenir les solutions locales » ;
- Pour les partenaires du Pôle au Sud, notamment en Afrique francophone :
- Amélioration des compétences des cadres bénéficiaires des formations (femmes et hommes) en matière de gestion des politiques et projets de développement ;
- Renforcement des capacités de recherche des chercheurs et chercheuses et des institutions partenaires au Sud sur les questions de développement durable, ainsi que de leurs capacités à participer au débat public ;
- Développement et/ou consolidation des réseaux de chercheurs/chercheuses et d’apprenants/apprenantes dans les pays bénéficiaires ;
- Amélioration du dialogue de politiques publiques, pour que l’élaboration des politiques de développement dans les pays partenaires de l’AFD bénéficie des éclairages d’une recherche ancrée localement.
Le Pôle clermontois a été officiellement inauguré en avril 2024 à Clermont-Ferrand.
Aller plus loin
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Contexte
L’embellie économique dont la Côte d’Ivoire a bénéficié depuis les années 2010 a eu un impact limité sur l’emploi. En effet, la transition vers l’emploi est souvent difficile : 35% des 16-35 ans sont éloignés du marché du travail (ni employés, ni scolarisés ou en formation). De plus, la part de l’emploi informel reste très élevée (89,4% en 2019). Dans ce contexte, du fait de la croissance démographique, 300 000 jeunes diplômés rejoignent chaque année le marché de l’emploi – et un nombre équivalent sort du système éducatif sans diplôme, et sans perspectives. L’inadéquation compétence-emploi serait l'une des explications des difficultés d’insertion des jeunes sur le marché du travail.
Or, ces jeunes portent des opportunités de développement économique et social, mais aussi des risques si leur potentiel n’est pas utilisé. La croissance de la population rend impérative la compréhension des évolutions de l’offre et de la demande de main d’œuvre, pour pouvoir adapter le système d’éducation et d’apprentissage aux besoins du marché du travail local.
Objectif
Le projet de recherche a pour objectif d’analyser l’offre et la demande de compétences à Bouaké, Daloa, San-Pedro et Korhogo, quatre villes secondaires de Côte d’Ivoire au potentiel économique fort mais encore peu exploité. La ville d’Abidjan, sur laquelle se focalise la majorité des études relatives à la Côte d’Ivoire, n'est pas été traitée spécifiquement par cette recherche, mais elle reste le cas « de référence » pour l’analyse des situations des villes secondaires.
Approfondissant les résultats d’un précédent projet de recherche sur l’inadéquation entre compétences et emplois en Côte d’Ivoire, ce projet vise à enrichir les connaissances nationales sur le fonctionnement du marché du travail et la nature des goulets d’étranglement qui rendent difficile la transition vers l’emploi pour les jeunes, ainsi qu'à formuler des recommandations visant à favoriser l’emploi et l’attractivité des villes étudiées.
Enfin, le projet comprend des activités de renforcement des capacités visant plus spécifiquement les jeunes chercheurs du CREMIDE, afin de les appuyer dans l’élaboration de leurs travaux de recherche et de favoriser la mise en place de partenariats scientifiques à travers leur participation à des conférences internationales, ateliers et séminaires de formations, et via des séjours dans des centres de recherches spécialisés.
Méthode
L’étude inclura un examen approfondi de la structure et de la composition (démographie, formation et compétences) de la main-d'œuvre locale, et des inégalités spatiales d’offre et de demande de compétences. Une évaluation sexo-spécifique de l’offre de compétences locale sera aussi réalisée, ainsi qu’une analyse prospective de l’impact des évolutions technologiques sur le marché de l’emploi dans ces villes.
Les données utilisées proviendront à la fois des enquêtes emploi disponibles depuis 1993 et d’enquêtes de terrain menées au cours de ce projet. L’analyse incorporera un aspect prospectif visant à appréhender les emplois en Côte d’Ivoire à l’horizon 2025 et 2030.
Les connaissances seront partagées avec les milieux de la recherche et mises à disposition des décideurs nationaux et locaux à travers des ateliers, conférences et publications dans des formats adaptés, afin d’informer la décision publique.
Contact
- Linda Zanfini, chargée de recherche à l'AFD